En 2012, je me lance par curiosité dans un Diplôme universitaire d’hypnose en anesthésie, sans trop savoir ni où, ni comment, ni quand j’allais pouvoir utiliser cette technique. Au même moment, se développe le service des grands brûlés dans l’hôpital où j’exerce.
Beaucoup de pansements s’y font avec une sédation1 que les IADE prennent en charge. Ce fut pour moi l’occasion d’appliquer les techniques que je découvrais. L’hypnose fut bien accueillie par l’ensemble de l’équipe et devient rapidement un outil parmi d’autres. Elle permet de diminuer les quantités de produits anesthésiques utilisés et elle offre un vécu différent du soin pour les patients.